Je vis en Suède, et « j’ai » gagné en tant que Suédois le Championnat du monde de Hockey junior 2012, en Suédois, dans la langue de mon nouveau « pays ». Ça faisait longtemps que je n’avais pas été fier, que je n’avais pas eu ce sentiment nationaliste, alors que la dernière fois fut au référendum de 1995 comme Québécois. Maintenant, j’ai retrouvé cette fierté, ce sentiment de fierté, de voir mon drapeau se hisser, d’entendre mon hymne national, mais comme suédois en Suède. Si les Québécois n’ont pas besoin de ça, et qu’ils se contentent du Canada, alors temps mieux pour eux.

vivre encore au Québec, ça me frustrerait peut-être de lire votre commentaire, mais de la Suède, alors que je suis loin du statu quo et des colonisés contents, ça me laisse légèrement indifférent.

Ceci dit, « good luck for the play off Ghislain (if the Habs ever made it to the playoff ever again).

Pkoi lors du repechage c est toujours le meilleur joueur disponible qui est choisi peu importe sa langue alors que pour un entrainneur on devrait choisir un francophone absolument meme s il est completement pourris ?

Combien de joueurs francophone sont a Montreal ?
Le coach des Alouettes parle francais ? Le coach de l Impact parle francais ? Pourtant personne n en fait un plat …

Laissez donc la chance au coach … la langue n affecte pas ses capacités et son sens du hockey .